14 octobre 2008

Bakhat tient parole


Le journal de Tanger, "piloté" de main de "maitre" par l'énigmatique Abdelhaq Bakhat tient parole. Il vient de dévoiler d'autres aspects de la non énigmatique vie de Mokhtar Ould Nasser, ou comme il l'appelle, M.O.N
Intéressante cette guerre fratricide entre franc-tireurs pseudojournalistes. Elle permet de comprendre et de mettre à nu les réseaux mafieux, et fait honneur au dicton qui dit que c'est après la dispute des voleurs que le butin est retrouvé...
Pour les amateurs, c'était sur le JDT du 11 octobre dernier

06 octobre 2008

Mokhtar O.Nasser s'est fait piquer



Pauvre Mokhtar O. Nasser, le patron de la Dêpeche de Tanger! il s'est laissé glisser jusqu'à tomber sous le coup de Bakhat, le "vertueux" patron du Journal de Tanger. Comble de l'ironie, Oulad Nasser fait partie maintenant du club très select de journalistes de la Place à s'être fait insulter grassement en deux langues sur le même numéro. Un club qui ne comprenait que deux membres, Amiar et Mokadem. Encore pire, Bakhat a dévoilé en public les suspicions qui pesaient sur Oulad
Il semblerait que cette affaire soit la suite de la lutte que s'étaient livrés les deux pour publier une feuille de chou en langue de Cervantès ainsi que d'accuellir sa rédaction, moyennant bien sûr une grasse rémunarétion, 192.000 euros...
En fin de compte , à quoi sert un journaliste véreux? à démasquer un autre dirait-on.

25 septembre 2007

Reddam de retour aux Nouvelles du Nord.

Abdeslam Reddam, le fils prodige de la presse locale de Tanger est rentré du bon pied (ou mauvais ) pied dans le cadre de la presse locale. Et c'est un retour au bercail qui l'a lancé, les Nouvelles du Nord. Le "journaliste" a depuis peu repris service das la feuille de chou que dirige Amiar.
Ce dernier a quasi finalisé la traversée du désert qu'il avait entrepris depuis peu, de nouveaux associés lui ont permis de prendre de l'oxygène et un brin de perfusion.

25 janvier 2007

Lettre ouverte contre l'antenne tangéroise du syndicat de la Presse


Nous venons de recevoir ce communiqué de la part d'un groupe de journalistes de Tanger. Ces derniers sont, semble-t-il assez dégoûtés des pratiques du secrétaire général de l'antenne régionale du Syndicat National de la Presse Marrocaine, Said Koubrit. Ils dénoncent corruption, népotisme, magouilles diverses ainsi qu'un immobilisme dignes des films de série noire. La lettre de protestation est en arabe mais on vous enverra une traduction dès que possible. restez à l'écoute

09 novembre 2006

Reviendra, reviendra pas, suite...

Chose promise, chose due. Le canard nordique de Jamal Amiar est rentré avec une formule assez nouvelle. Pas eu le temps de le feuilleter, dès que possible on vous le passera à la moulinette...
Restez à l'écoute...

29 octobre 2006

Nouvelles recettes pour la harira médiatique...

La non-qualité pointée aussi



La Haca a critiqué le pôle public sur la qualité des
productions nationales. Pour la haute autorité, la promotion du
produit national ne peut se faire sur la base du seul critère
quantitatif. Et d'annoncer qu'en concertation avec les opérateurs
audiovisuels, elle instaurera des mécanismes opérationnels à même de
contribuer à la mise à niveau de la production nationale. Plusieurs
pistes sont envisagées. A commencer par le fait d'inciter les
intervenants du paysage télévisuel public à préparer les programmes du
Ramadan tout au long de l'année, et non pas à quelque semaines du mois
sacré. Et ce, par la mise en place d'un fonds d'aide encourageant les
producteurs et les artistes en contre-partie d'appels d'offre élargis
et de tournages entamés le plus tôt possible.

La Haca a également relevé les similitudes des personnages et de mise
en scène entre certains programmes et des messages publicitaires. Cela
a été le cas pour «Moul Taxi», où le personnage d'Abdelkhalek Fahid
dans la série se confondait avec celui d'une publicité pour une marque
de thé, programmée juste avant et juste après le programme. Ce mélange
des genres a eu pour conséquence de créer un amalgame entre les
programmes et les annonces commerciales dans bien d'esprits. Egalement
soulignés: des propos discriminatoires – notamment à l'égard des
jeunes et des femmes – quand ils ne n'étaient pas franchement
racistes. C'était le cas dans un épisode de la série «Labass, Oualou
Bass», où un personnage féminin refuse l'invitation de son père à
l'accompagner au Sénégal. Argument: «Parmi les sénégalais, je serais
comme une goutte de lait…» L'utilisation de termes et d'expressions
choquants est aussi décriée.
L'acteur Mohamed Khiary n'a, à ce propos, pas hésité à qualifier sa
mère de «hartouka» (minable). Des propos qui tranchent avec la
vocation éducative d'une chaîne publique.

L'économiste du 28/10/06
(Article envoyé par Anonymous)

21 octobre 2006

Incroyable, Mechbal "persécuté" !?


Le Skin Head tangérois revient sur la scène. Dans un rapport qu'il soumit récemment à une association de défense des droits de l'Homme, Khalid Mechbal directeur du canard "Achamal 2000" prétend avoir reçu des menaces de mort au téléphone. Il se dit en danger à cause des articles traitant de la drogue (lesquels?), sic, que publie son journal. un journal rappelons-le édité pour son ami Abdelhak Bakhat, un repris de justice connu pour ses accointances avec les milieux du trafic des stupéfiants (Comme par hasard).
Rappelons-nous: l'affaire des "sauterelles qui ont envahit le nord" en septembre 2005, c'est lui.
« Les criquets noirs infestent le nord du Maroc ». Voici le titre qui figurait, en gros caractères rouges, avec la photo de trois subsahariens, sur la première page de l’hebdomadaire marocain « Achamal 2000 » (traduction : « le Nord 2000 »), numéro 283, du 6 au 12/09/2005, distribué dans toutes les régions du Maroc
« Des criquets qui infestent le Nord du Maroc », telle est la manière avec laquelle le journal « Achamal 2000 » présente les personnes issues de pays subsahariens qui se trouvent actuellement sur le territoire marocain. Quand on sait quelle calamité représentent les criquets, la comparaison est scandaleuse. Les Razzias des criquets pèlerins et les famines qu’elles ont provoquées dans le passé marquent encore profondément l’inconscient collectif de la population marocaine et des populations de toute la région. Mais le titre ne s’arrête pas là, il est encore plus explicite, on y fait également usage du verbe « Yarhzoo » qui signifie ici « détruire tout sur son passage »(1).
Pour Mechbal, les pauvres hères étaient la causes de tous les maux de la ville. La prolifération de la criminalité, c'est eux. Le vol, l'agression dans les rues, la mendicité, la misère c'est également eux. La sida, c'est aussi eux. Bref à peine si le "doyen de la presse tangéroise" comme il s'aime bien appeler, ne les accuse pas d'empêcher la pluie de tomber.
(1): extrait de l'une des nombreuses lettres de protestation qui ont été adressées au journal et aux différentes associations de protection de droit de l'Homme.